Re: chambre de Kyô

par **Meï** Jeu 14 Fév - 22:52

"Je ne chiale pas!"

dis-je en essuyant les reste de larmes qu'il y avait sur mes joues. Je me levai, allai vers le bureau et vi une boîte. Je l'ouvris, lu quelques mots et souris. Je retournai dans la salle de bain, pris la seringue, la jeta et alla m'assoire près de Kyô. J'avais envi de lui coller une grosse claque, lui dire que c'était un parfait idiot, mais je ne fis rien. Je regardai ma montre. Ca allai...j'avais le temps. Je regardai Kyô:

"Ca va mieux? tu t'es repris?"

par **Kyô** Ven 15 Fév - 13:56

"Si tu chiale..." Elle parti puis revint. Elle s'assit à côté de moi. Après quelques minutes, je me levai avec peine. Je pris le flaconsur le lavabo et partis dans la chambre. Mei me suivait. Je pris mon sac et m'assis sur le lit. Je l'ouvrai et y fourrai le flacon. J'en sortis alors un flingue. Je mis le canon sur ma paume de la main, et tirai. La balle transpersa ma main. La blessure se referma en une minute. Je souffrai de ne pas pouvoir souffrir d'une blessure, de ressentir cette merveilleuse sensation qu'est la véritable douleure, celle qui te tient éveillé la nuit, celle qui te fait transpirer de douleur, celle qui te renforce. Serai-je condamné à ne pas évoluer? J'envi les humain. Je ne peux pas m'empêcher de detester les lycans qui morde les humains, les obligent à le devenir à leur tour. Putain, laissez-leur le choix! Vous aimeriez vous être obligé de vivre toute votre vie ce que vous ne voulez pas être? Je ne vous parle même pas des vampires qui se multiplient et bouffent le sang des gens sans leurs autorisations. Putain, il est mort Hitler! Maintenant on a le choix! et moi j'avais fait le mien. Je pris une balle en argent dans mon sac, en chargea mon flingue. Je dis à Meï:
"Tu connai un autre moyen, pas moi, et pourtant j'ai cherché"
Je ne peut même pas mourir d'une overdose, comment elle a pu vivre 258 ans, sans se flinguer?

par **Meï** Ven 15 Fév - 14:02

Je regardai Kyô sans comprendre. Quand je le vis sortir une bale en argent, je me figeai. Je bondis sur sa main. Il serrait tellement fort, que je n'esseyai même pas de l'ouvrir.

"Kyô arrête! S'il te plait arrête!" dis-je d'une voix forte "Tu n'as pas été mordu, tu l'es par le sang! Tu n'as pas ça!"

Je ramassai mes cheveux, et montrai à Kyô la cicatrice de la morsure dans mon cou.

"C'est vrai, au début je pensais comme toi, mais je me suis dis qu'un jour, je pourrai vivre heureuse même en l'étant, et que je redrai quelqu'un heureux! Jusqu'à près de 100 ans, j'éi écu comme un zombie, et regarde! Maintenant, je me sens vraiment vivre comme une vrai personne!
Kyô tu n'as que 22 ans! Vis au moins 50 ans encore avant de penser à mourir!"

Je le regardai. Dans mes yeux se lisai le déséspoire et un amour intense. Je soupirai alors:

"Je connai un autre moyen...Et moins douloureux pour nous deux, si tu veux vraiment en finir."

Les larmes ne coulaient pas cette fois, mais mes yeux montraient que si je le pouvait, je le ferai.

"Je t'en supplis...Pas aujourd'hui..."

Pourquoi? Magnifique le cadeau d'anniversaire! Bravo! Youpi!

par **Kyô** Ven 15 Fév - 14:06

Je dirigeai le canon de mon flingue sur Meï. Je lui dis:
"Ne me dicte pas ce que je dois faire, tu ne m'as donc pas entendu??! On a pas eu la même vie! Tous les coups que je me suis ramassé car ils ne comprenaient pas pourquoi je n'avais pas mal! Tous les os brisé qui se ressoudaient en 3 minutes et ils ne comprenaient toujours pas, alors ils te le répêtaient. Etre celui qui n'a jamais mal, qui ne vient pas en cours une fois par moi. Qui n'a pas su trouver sa place parmis les humain alors qu'il souhaitait en être un. Qui rencontre les siens, mais qui n'arrive psa à s'intégrer car au fond de lui, il se sent humain. Tu ne peux pas comprendre! Et ne me dis pas le contraire!"
Je finis en criant à moitié.

par **Meï** Ven 15 Fév - 14:09

Kyô pointa son arme sur moi. Je ne fis aucun geste. Il me gueula dessus. Je ne répondi rien jusqu'à ce qu'il ai finit.

"C'est vrai je ne peux pas comprendre. Maintenat si tu pense que ta vie ne vaux pas la peine d'être vécue alors tire, mais pas sur moi, et tu fais ça dehors. Je n'ai pas envi de tout nettoyer. Et si c'est possible pas aujourd'hui, car c'est mon anniversaire, et je n'ai pas envie de faire la fête alors que celui que j'aime s'est sucidé. Merci"

J'avais parler d'un ton glaciale.

par **Kyô** Ven 15 Fév - 14:14

J'éclatai de rire, je ne pouvai pas m'en empêcher.
Qui t'as dis que je voulai me tuer? Prend pas tes désirs pour la réalité!"

J'appuyai sur la gachette. La balle passa à quelques centimètre de la tête de Meï. Dire que j'étais à deux doigts de tuer la reine des lycans.
"Maintenant, va falloir me prouver que ma vie vaut bien le coup d'être vécu, car j'ai de sérieux doutes la dessus figure-toi."
Je me levai, avançai vers l'armoire. Je l'ouvris et en sortis un pantalon blanc et une chamise noire. Je les balançais sur le lit. Je revint auprès de Meï, me baissais et sortis de dessous le lit une grande boite noire. Je la lui donnais.
"Voila ton autre cadeau"
Devant son manque de réaction, j'ouvris la boite à sa place. Elle contenait une robe rouge foncé et blanche.
"Je sais pas si elle va t'aller"

par **Meï** Ven 22 Fév - 15:10

Kyô tira, je ne bougeai même pas. Ce rendait-il compte de ce qu'il venait de faire?Je ne disai toujours rien, immobile. Il revint avec une boite et me dis que c'était mon deuxième cadeau. Cadeau? ah oui. Mon cerveau fonctionnait à plein régime. Il ouvris la boite, et je me repris. La boite comptenait une robe rouge foncé et blanche, magnifique.

"Merci, elle est magnifique..."

Je m'approchai de lui, l'embrassai, puis pris la robe avec douceur.

"Je vais la mettre ce soir. Je viens quand j'ai fini de me préparer? ou tu viens, comme tu veux...ok?"

Un tendre sourir pouvait être lu sur mon visage.

par **Kyô** Ven 22 Fév - 15:14

"Heuresement qu'elle est belle, car le couturier en a bavé pour la faire à partir de mes dessins. Il arrêtai pas de m'appeler pour me demander des précisions et à chaque fois qu'il avait un doute."
Je me levai, pris un mouchoir et alla chercher la douille de la balle. Je pris avec mon mouchoir et la jetai à la poubelle. Je revins vers Meï, pris mes fringues et tendis la main vers elle:
"On y va?"

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