un petit coin où c'est bien dêtre a deux^^

[Maëlle]

j'acquiessais. j'emenais ma vampire préféré dans une course folle entre les ruelles sombre de cette ville nauséabonde. il commença a pleuvoir. pas des torrent ? non, juste une petite bruine glacée qui s'insinue dans le moindre plis. j'avais froid. j'avais menée Sandy dans le parc. enfin le seul endroit du parc qui n'était pas fréquenté et qui était au chaud.c'était une grotte, un ancien caveau, il y faisait chaude presque trop au vu de la température du dehor. j'avais beau avoir vécu dans des montagnes avec du froid et de la neige. ce n'était pas pareille que ce froid humide et trensperçant. je m'approchais de Sandy ses cheveux étaient constellés de perles d'eau. son visage pale arboré toujours ce petit sourire, un demi sourir. et ses yeux si bleu semblait constament au bors des larmes. j'avais envi de la voir sourire, un vrai sourir qui vient du coeur.

" on fait quoi ?

demandais je ... en aillant une petite idée de la réponse. je m'approchais d'elle. je grelottais et je priais le ciel pour qu'elle ne le remarque pas. je rougit légerement. quel était ce sentiment qui me broillait le coeur dans un étau ? quel était cette étrange sensation qui venait se nichait au creux de mon âme ? je baissais les yeux. pour la première fois de ma vie j'avais peur. peur de quoi ? peur de ce regard qui me faisait bruler de l'interieur. peur de ces lévre qui me donnaient envi de mordre. peur de cette audeur de fleur et de vent qui me donnait l'impression de vivre dans un rêve. mais était ce un rêve ou un cauchepmar.
je ne savais pas ce que je faisais mais ... je la voualis pour moi. égoïstement je voulais qu'elle m'appartiene. et qu'elle ne soit a personne d'autre. mais elle était quelqu'un et pas le jouet de mes pensées perverses.


" Sandy ? est ce que tu veux bien que...

je ne finis pas ma phrase j'était faciné par son regard perçant qui me donna l'impression d'être passer au rayon X. une étrange chaleur vint se loger au creux de mon ventre, et je tandis une main tremblente pour carresser cette illusion, ce mirage, ce rêve; je voulais m'assurer qu'elle ne disparaitrait pas dés que je la toucherais. je carressait sa peau froide et douce. j'avais envi de la réchauffer.

" je .. je .. je crois que je... je t'aime...

murmurais je en versant une larme, de honte ou de joie je n'aurais su le dire.

[Sandy]

Elle s'était laissée guider, suivant presque aveuglément maelle dans ce labirynthe incéssant, captant chaque image, chaque personne qui les voyait passer en coup de vent, se laissant entrainer avec cet étrange sentiment de confiance qui la prenait dés qu'il s'agissait de Maelle...
La pluis arriva, fine, douce, glacée peut etre, elle n'en savait rien, elle ressentait juste les frissons dans la main de Maelle, mais en savait si c'était du au froid de la pluie ou à autre chose...qui sait les deux.
Elles sortirent enfin du labirynthe, toujours accrochée à sa main devenue glissante par la pluie, elle serra plus fort pour y restait accrocher.
Puis des arbres, quelques points de lumières dans le noir, un bruit d'eau autre que la pluie, une fontaine. Le parc. Au moins elle reconnaissait quelque chose ici...
Mais Maelle la guida vers un endroit que, une fois de plus, elle ne connaissait pas encore. C'était une grotte, à première vue, contrastant avec la température et la météo du dehors, heureusement qu'elle voyait dans le noir...c'était assez grand...largement assez pour deux. Maelle l'avait laché, s'était arreter, puis retournée pour lui faire face.
Sandy planta ses yeux dans les siens, elle en venait presque à désirer, à vouloir ses yeux brillants d'émotions diverses et entremêlées, sa peau chaude bien que frissonnante par le froid, qu'elle ne pouvait pas réchauffer. Elle était la vie, elle la mort. Deux êtres complétement opposé et pourtant reunnis ici.
Elle commenca à parler, sans finir ses phrases. Etait-ce encore du au froid ou à autre chose? elle ne savait pas, ne savait plus, peut-etre faudrait'il faire un feu, comment cela se faisait'il? du bois...non il faisait trop humide, elle n'en savais rien.
Une pensée la ramenna subitement à terre, elle était en train de s'inquiéter pour quelqu'un! cela n'était sans doute pas arriver depuis...depuis.
Son regard vide toujours sur maelle, elle se mit à la fixer réellement, et avec interêt lorsque celle-ci commenca cette phrase qui lui semblait si dure à sortir, elle s'était rapprochée, des tentatives inavouées était passée, sa voix était hésitante, brisée, tendue, impatiente, envieuse, triste, heureuse, dans le doute. Tant d'émotions auquelles elle-meme ne pensé plus avoir droit. Puis le fardeau tomba, un je t'aime enfin libérée, s'envolant gaiement avant de se faire noyé sous la pluie glaciale du dehors qui s'intensifiait.
Sandy s'était figé, elle avait sentie l'émotion, mais ignorait comment la rendre, elle ne savait pas ce qu'il fallait faire, se sentait ignorante, avait envie de se cacher et de la serrer dans ses bras en meme temps. Ses yeux bleu ne bougeait plus, gardant un point fixe perdue dans les jolis yeux de Maelle.
Mais elle se sentait perdue, si elle s'était souvenue comment faire elle aurait sans doute pleurer, de elle ne sait quoi, ou alors rit, sourit, quelque chose, et non cet air figé et glacial. Sur le moment elle se dégoutée elle-même.
Elle baissa les yeux, cherchant de l'aide dans le sol rugueux à terre, mais rien ne lui répondit. Tout ce qu'elle sentait c'est cette énergie nouvelle qui émanait de Maelle, elle la pardonnerait surement, elle l'avait deja pardonnée de ce qu'elle ignorait. Sans doute était-ce ça aimer quelqu'un, dans ce cas pouvait-elle se dire qu'elle l'aimer aussi? l'ampleur de tout ce qu'elle avait à apprendre l'écrasa soudainement, de tout ce qui lui restait à réappendre. Qui sait la mort pouvait peut etre revivre...
Elle décida finalement, bien qu'elle n'en soit pas sure. Sans rien dire elle s'approcha de maelle, toujours plus, puis la serra contre elle, comme si elle tentait de s'emparer de sa chaleur tout en lui en donnant, elle ne dit rien, laissant des pensées invisibles faire le reste, elle se sentait pathétique, horrible, mais ne savait que donner d'autre que de l'affection, bien qu'elle ne sache comment lui montrer.

[Maëlle]

je ne savais pas à quoi m'attendre. les vampire ne ressente rien. enfin ne ressente plus. je sentais la chaleur en moi disparaitre comme rincée par la pluie au dehor. Sandy semblait dans le doute. avait elle oublié ce que c'était que l'amour ? avait elle oublié la chaleur d'un baiser échanger sous une plus de septembre ? ou bein est ce que mes mots l'avais bléssé ? je ne savais pas, plus. où s'arrete mon rêve. venais je de m'éveiller. et puis je la senti tout contre moi. je sentais son odeure. je n'entendais pas le bruit de son coeur. ce coeur qui avait céssé de battre depuis combien de temps. je sentais qu'elle se méprisait elle même. mais comment pouvait on mépriser une créature si merveilleuse. comment pouvait elle se haïr lors que je venais de lui prendre ce qu'elle n'avais plus, son coeur, son âme, le restant de cette vie qui l'avait quitté.
combien de temps sommes nous restée là. enlacées dans les bras l'une de l'autre, sans doute quelques secondes qui s'étaient transformée en heures.

je te pardonne

j'avais di ces mots sans savoir ce qu'ils signifiaient. si ils avaient un sens même infime à ses yeux.

" il te faudra sans doute du temps avant de réapprendre à aimer, je ne suis pas présser nous avons l'éternité devant nous. je... je ne sais pas ce que ça fait d'être comme toi. je n'ai jamias rien ressenti. mais je voudrais juste voir. une fois un vrais sourir sur ton si beau visage.

je lui murmurais ces paroles a l'oreilles comme si... comme si chacun de mes mots se répercutaient sur les paroies de pierre. je me détachais un peu d'elle. suffisement pour pouvoir déposer un baiser sur ces lévres si froides. je voulais lui donner toute la chaleur de la vie, je voulais lui montrer comment on aimer sans savoir si c'était ça ou non. jamais dans ma vie je n'avais ressentit tant de sentiments diffeérents. la crainte, la passion, la déception, la rage, la douleur, l'amour, le doute, la sereinnité et tant d'autre choses si paradoxale les unes des autres. mais elle que ressentait elle ?

[Sandy]

elle écouta sans vraiment entendre ce que maelle lui disait, perdu dans ses propres pensées plus dures à démêlée qu'un filet de pêche maintes fois utilisé. C'est donc distraitement que les paroles de maelle lui parvinrent, réapprendre à aimer...si c'était possible... oui peut-etre aprés tout. Quoique peut-etre plus long que ce qu'elle croyait, comment se souvenir de ce genre d'émotions quand meme le vent dans ses cheveux parrait fade et sans valeur, quand la pluie ne vous affecte en rien et le soleil vous est fatal. Quand on se sent vivante et morte à la fois, et que le sang des autres nous permet de survivre. Si alors il y avait une chance, un espoir, pour qu'elle puisse un jour ne serait-ce que se souvenir ce que c'était de sentir un coeur battre dans sa poitrine, pourquoi pas essayer.
Elle sentit Maelle se séparée d'elle et lui donner un baiser, au moins sentit'elle juste le contact, bien qu'elle reste désespéremment comme indifférente et froide. Tout ce qu'elle sentait c'était la vie en maelle et cette confiance qu'elle avait en elle, mais sandy elle-meme ne serait dire si la louve avait raison de rester avec elle. Elle avait juste peur de commettre l'irréparable, bien que pour l'instant elle sache se controler autant avec elle qu'en lieux publics. C'est juste une certaine possibilité pour l'avenir qui ne lui plaisait pas, mais il y en avait d'autre heuresement.

"merci"

elle s'éloigna encore légérement d'elle et s'assit juste à coté, regardant le ciel gris d'ou la pluie jaillissait, et se demandant quelle température il pouvait bien faire. Quoique au fond elle n'est pas à s'inquiéter pour Maelle, meme si elle avait froid il suffirait de se transformer pour etre aussitot équipé d'une fourrure chaude et à toute épreuve.

"on reste là ou tu es partante pour aller se faire trempée et finalement aller je ne sais ou?"

sait'on jamais si elle avait une envie quelconque de sortie...apparemment l'ancien caveau était assez profond pour qu'elle puisse y passer la journée donc sur ce point là elle n'avait plus à s'inquiéter, mais pour l'instant la moitié de la nuit n'était pas écoulé, elles avaient encore le temps de faire quelque chose


(sous entendu plus ou moins voulu sur ce coup la )

[Maëlle]

" je ne sais où pour fair n'importe quoi ...


dis je avec amertume. je tombais de haut, je ne sais pas a quoi je m'attendais mais ce n'était certainement pas ça. j'avais froid. mais a quoi bon. je mis les mains dans les poches et senti le papier de mon paquet de cigarette. depuis combien de temps n'y avais je pas toucher ? tout comme le coeur de sandy le temps est un long mystére insondable.
quoi qu'il en soit je sortit une clope et l'alluma. l'odeur du tabac dans la gorge me plongea dans un délice. cette odeur a la fois boisé et amer. c'était comme du feu qui décendait dans mon corps et venait me réchauffer de l'interieur. je savai que c'était mauais pour la santé, mais ce qui s'applique aux humains ne s'applique pas forcément aux loups.
je m'adressais a Sandy avec un léger sourire.

" je sais que je suis un gros chiens mais je n'ai pas envi de me transformer en serpière... que dirais tu de se réchauffer mutuellement ? a moins que tu préfere les serpières ?

[Sandy]

Encore cette impression de la décevoir...et du meme coup Sandy s'en voulait sans en etre vraiment sure à elle-meme.
Elle s'était donc replongé dans la contemplation des gouttes de pluies tombant lourdement sur le sol quand une autre odeur vint se mêler à celles deja présentes, pas besoin de tourner la tete pour l'identifier, mais elle le fit quand meme rien que pour voir Maelle, qu'elle regarda fumer avec un plaisir apparent, elle aussi avait déjà fumer, quoique pas depuis un moment, pas pour autant qu'elle avait envie de recommencer.
Elle qui avait pourtant toucher bien des choses, tant que sa passait pas loin du mot drogue ou dans ce genre...mais il est vrai que depuis son arrivée dans cette ville elle n'y avait pas retouché, voir à peine pensé, ses pensées s'étant jusqu'alors surtout concentré sur ce qu'elle faisait et...Maelle. Qui sait si la louve lui procurait une influence quelconque, elle serait bien la première en tout cas.
Elle tourna un peu plus la tete en entendant cette dernière parler, la fixant de ses yeux bleus presque rayonnants dans la nuit.

"ben je suis pas trop pour la serpillère non...aprés si tu arrives à tirer une quelconque chaleur de moi vient sa me pose aucun problème..."

au fond d'elle quelque part elle était meme surement contente que la louve lui propose ça, mais comment parler de 'réchauffements' avec cette enveloppe sans vie qui lui servait de corps?

[Maëlle]

je souris... je m'approchais d'elle avec un léger sourire. ma cigarette à la main. je voyais bien que cette odeur ne lui déplesait pas. ma si jolie vampire et si froide, qu'elle gachis... dehor il faisait froid et il pleuvait franchement je ne suis pas contre pour les petit calin même entre fille. j'approchais avec une démarche féline et vint lui souffler ma fumée de cigarette dans le creux du cou. puis j'écrasais ma cigarette contre la semelle de ma chaussure. puis je déposais un léger baiser entre le coup et l'épaule de Sandy. je passais mon bras autour de sa hanche...

" tu te dis froide mais je suis sûr que tu cache un brasier... "

je déposais sur ses lévres gléçée un baiser que je voulais passioné et bouillonant d'amour. je me mordi la langue pour faire glisser mon sang dans ses veines. je voulais que ma vie coule dans la sienne.

" penses tu que mon amour puisse te réchauffer...?

[Sandy]

Maelle se rapprocha d'elle, sans doute avec une petite idée derrière la tête vu son sourire et l'éclat dans ses yeux, petite lumière rayonnante contrastant avec le ciel gris et la pluie qui s'acharnait toujours autant sur le sol.
Elle sentit le souffle chaud de la louve dans son coup, laissant l'odeur de tabac s'insinuait en elle, avant que la cigarette ne quitte ce monde.
Puis un baiser, elle se rapprochait. Un contraste qui l'embetait, maelle semblait etre sure de ses sentiments, alors qu'elle...elle se demandait encore si c'était bien de la laisser faire. Mais l'envie de découvrir, d'essayer, était aussi forte. Si elle avait plu elle aurait certainement pleurer.
Finalement elle répondit à son étreinte, placant une de ses mains dans le creux de ses reins, tandis que l'autre se baladait négligemment dans le coup de la louve. De tenter à tout arreter, elle préférer autant essayer, qu'avait'elle à perdre? en comptant le tout à gagner. Elle laissa échapper un murmure

"qui sait..."

Elles étaient à présent'collées', elle la vit approcher, déposer un baiser doux et chaud, empli d'une émotion qu'elle ne trouvait pas...ou du moins pas encore. Puis l'odeur, une odeur de sang, vint le gout, la testait-elle? Elle n'était pas sure de pouvoir s'arreter ensuite, ses yeux se retrouvèrent comme hypnotiser par la goutte de sang qui perlait sur la lèvre inférieur...trop tard, avec douceur elle ceuilli cette perle rouge du bout de la langue, mais ne se retira pas ensuite.

[Maëlle]

je me laissais envahir par cette sensation si chaude que je connaissais déjà depuis longtemps... je ceuillit se baiser sanglant. c'était comme un présent. une éspèce de cadeau mortelle qui s'insinue dans vos veines et vous fait croire au bonheur le plus intense. mais j'avais peur que ce ne soit qu'une illusion. j'avais peur qu'elle ne soit qu'un mirage glaçé. j'avais peur mais en même temps. je la sentais toute proche. si proche. et sa main gfraiche sur ma hanche. je glissais une des mienne sur la boutonniére de sa chemise et fis sauter quelques boutons...

" essayons d'aller loin.. je vais t'ammener dans un monde que même morte tu ne connaitra jamais.."

dis je avec un sourire provocateur sur les lévres. c'était le première fois que je faisais ça avec une personne du même sexe que moi. mais ça devait pas être plus compliqué qu'avec un mal.. qui que d'un côté plus pratique ça l'est pas justement. a cette pensé je souris légerement. je déposais un baiser sensuelle dans le creux de son cou.

" sandy... amene moi dans ton monde je veux fair fondre les glaces de ton coeur..."

[Sandy]

Malgré ses mains froides elle avait l'impression de mieux percevoir la chaleur qui émanait de ce corps. Un corps ou un sang bouillonnant circulait dans chacune de ses veines, un sang chaud et agréable, pleins de cette vie qu'elle-même n'avait plus.
Mais c'était aussi maelle, et à présent elle avait presque honte d'avoir pris ce sang offert, mais la tentation était si forte et rejetée à la fois...
elle avait laissé ses mains sur ses hanches, caressant le dos au passage puisqu'on y était, en passant sous le T-shirt...moui. Aprés tout elle ne se gêner pas pour lui enlever les bouton sa chemise.
En revanche elle ne sut comment interpréter le 'essayons d'aller loin..' , ce qui lui arracha un petit sourire, surtout en voyant l'air pensif de maelle suite à cette phrase. Mais ce qu'elle lui demandait, elle ne savait comme lui donner, comme lui permettre d'y aller. Un coeur? elle parlait de coeur? encore faudrait'il qu'elle en ait encore un. Quoique qu'un seul finirait par finir pour deux si ce qu'elle lisait dans le regard de maelle était sincère.
Un détail ranima de plus belle son attention, encore cette odeur de sang, et aprés y avoir gouté une fois l'envie devient plus forte, pressante, opressante.
Et c'est en y allant avec plus de douceur cette fois qu'elle recommenca à l'embrasser, à croire qu'elle aller y prendre gout si ce n'était deja fait. Tandis que ses mains était instinctivement passé sous le T-shirt et caressait son dos, rencontrant au passage le soutif qui l'empechait de passer tranquille. Sans pour autant déclaré la guerre de celui-ci, elle choisit de l'ignorer pour l'instant et continua ses caresse

[Maëlle]

je sentais le désir de sady de me mordre. je lui souris et déboutonnais entierment son chemisier. elle semblait frustré de la présence de mon soutien gorge, mais en même temps je vais pas me balader en t-shirt sans soutif dessous. j'obtais pour une solution plus simple en ce qui concernait sons soutien gorge a elle. Elle avait une peau si pale. comment dire. une peau laiteuse et a la fois si apetissante. je me sentais un peu mal à l'aise. j'avais l'ipression d'être un de ces mal qui vous saute dessus. J'étais à la fois génée mais j'avais hate. je voulais, tester, mais ce genre d'éxpérience ce font avec une personne que l'on a appris a connaître au fil du temps, et pas avec un inconnu rencontrée au hasard d'une rue. peut être que je suis une romantique dans le fond, et dans la forme aussi.

je m'approchais encore. je me collais ostesiblement a ma vampire préféré. je glissais ma tête prés de ses lèvres. et ma jambe remontait entre les siennes comme le faisait souvent les hommes, mais j'essayais d'y mettre de l'amour et de la sensualité. je voulais que ce soit comme une fleur qu'on ceuille alors qu'elle est encore fraîche et belle.

[Sandy]

Maelle passa alors du premier bouton à la chemise entière, avec cet air motivé que l'on connait aux personnes qui font quelque chose de nouveau pour eux. Aprés ça Sandy ne se gêna plus pour lui oter son T-shirt, et put à nouveau pleinement constater le contraste que créer leur peau, plus beau encore que celui entre la Lune et le Soleil, le tout dans un ciel sans nuage.
Elle se sentit légérement poussé et recula elle aussi pour se retrouvait coincé entre une paroi et Maelle, non pas que ce fut désagréable de toute façon le mur froid et caillouteux ne lui faisait rien, et sa capacité de mouvement se retrouva quelque peu réduite.
Sa louve préférée la débarassa des derniers éléments gênants en ce qui concernait le haut avant de se coller à elle. Sandy sentit une jambe se glisser entre les siennes, elle plongea à nouveau son regard dans celui de maelle et se pencha vers elle pour l'embrasser doucement tout en lui caressant le visage, puis laissa ses mains descendre sensuellement sur son cou et vers la poitrine, avant de finalement aller se réfugier dans les poches arrières du jean de la demoiselle.

[Maëlle]

[hum.. hum... que vais je bien pouvoir inventer...]

je frissonais en sentant ces mains froides déscendre le long de ma colone vertébrale. c'était surprenant mais pas dérengeant. je regardais mon T-shirt qui gisait au loin... c'est dommage je l'aimais bien.
je ceuilli le baiser qu'elle m'offrait comme une fleur. c'était tellement doux et agrable, mais niveau température c'était pas encore tout à fait ça.... je fis glisser ma main le long de sa nuque, puis de son torse. j'éffleurais à peine sa peau laiteuse. mes doigt glisser légérement dans un furtive carresse. Ces doigts que je cherrissais tant. des doigts dur de guitariste et de tueuse aussi. ces mains qui avaient tué mais qui apprenaient de jour en jour a donner un peu d'affection. je laissais cette main vagabonder jusque sur son bah ventre et commençais a joue avec l'élastique de son pentalon. je sentais sa taille fine, je sentais son odeure et je m'enivrais de ses baisers. mais n'était ce pas contre nature de créatures si opposés et pourtant si proche. n'était ce pas étrange de femmes qui s'aiment. je me posais ces questions sans vraiment vouloir de réponses. aprés tout j'étais bien au creux de ses bras dans la chaleur douillette d'un amour interdit. Je l'ai légérement soulever pour nous mettre dans un endroit comment dire... plus confortable. au font de l'ancienne crypte il y avait encore le lit de mousse que j'y avais laisser quelques jours plutôt. et oui entant que louve je ne prend jamais a la légére le confort dans mes cachettes, non mais !!

" est ce que tu m'aimes ?"

lui demandais je... c'était surtout pour me rassurer et me dire que ce que je faisais n'était pas mal....

[Sandy]

Sandy sentait les mains de Maelle sur elle, ou plutot ses caresses, se faisant de plus en plus douces, affectueuses. Elle sentait cette énergie qui les parcourait toutes deux, comme un halo d'énergie qui les aurait protéger. De quoi? de tout. Des regards, des doutes, des envies qui ne s'expriment jamais, d'une peur différente des autres. Peur d'être juger? Mais par qui? Elles étaient libres, tueuses sanguinaires qui ne s'arretaient devant rien. Et pourtant, oui pourtant quelque chose les avaient toutes deux arreter, stoppant leur élan pour leur faire découvrir quelque chose de nouveau, dans lequel elles entraient sans trop savoir pourquoi. Le doute habituellement fatal prend ici une ampleur différente. La vision et l'analyse changent également. L'amour interdit s'impose. Mais qu'est-ce que l'amour? C'est cette question qui empechait Sandy de répondre à Maelle, que lui dire, comment répondre à une question si on a aucun élément pour faire une réponse convenable, douée de sens...?
Elle s'était senti légérement soulevée, la louve l'ayant conduit dans un endroit plus confortable. une sorte de lit, ou elle s'allongea sans rechigner. Retour à la nature, lit de mousse, adieu draps blancs tachés de sang.
La tenant toujours par une main, la vampirette invita Maelle à la rejoindre sur ce lit douillée, constatant qu'elle avait une place diras-t-on de choix quand le louve s'installa sur elle. Placant les mains derrière le coup de celle-ci, elle l'attira contre elle et cala sa tete dans le creux de son épaule. Retrouvant des cheveux noirs sur sa peau blanche, elle lui susurra à l'oreille, d'une voix douce, peut-etre uen pointe de tristesse au fond.

"Dis-moi d'abord qu'est-ce que l'amour"

Sentir con coeur battre à tout rompre? elle n'en avait plus depuis longtemps. Un sang chaud et bouillonnant? depuis ce jour fatal elle était toujours restée froide, glaciale, sans sentiments que l'ont aurait put qualifier d'humain. Mais peut-être devait'elle rechercher autre chose, si ce qu'on qualifier 'd'humain' lui était inaccessible, y avait'il autre chose qu'elle devrait chercher? Sans doute. Oui il y avait certainement un 'truc', qui lui avait échapper, dont son maitre ne lui avait pas parlé, ou n'aurait pas voulu lui parlé. Quelque chose de contre nature pour une créture du démon. Ce qu'aucun vampire n'aurait chercher à faire auparavent. Sans doute parce que jusque là, aucun n'avait eu envie de faire plaisir à quelqu'un. Aucun ne s'était vu prêter une force aux origines inconnus par un sang chaud. Cette force qui semblait émaner de Maelle, toujours couchée sur elle et la tete dans le creux de son épaule dénudée.

[Maëlle]

"Dis-moi d'abord qu'est-ce que l'amour"

j'eus un sourire, qu'elle ne vit sans doute pas. je pris une profonde inspiration, m'emplissant les poumons de son odeur fraîche. même si des milliers de sensations et d'odeurs se melaient, je santais la sienne qui dominait. je n'avais plus peur de l'inconnu, ce n'était pas l'inconnu, homme où est la difference ? Humain ou vampire quel est le lien qui sépare ces deux être. il n'y a juste une barrière que toutes deux sans nous en rendre compte nous avons franchie. ceux qui sépare les hommes et les vampires, c'est seulement l'absence de sentiments, les vampire sont vivants, ils vivent dans l'ombre certe, mais ils sont vivants. et je ne laiiserais personne reprendre à Sandy cette vie que désormais je protégerais. fallait il pour cela que je sois iun homme, non, le coeur ne choisi pas le sexe.
je mordilleais le creux de son cou alors que mes mains allaient se nicher dans la courbes de ses reins. je voulais lui faire sentire que même entre femmes ont peu ressentir le plaisir et le désir charnel. cela n''a rien avoir avec la brutalité de l'amour masculin, c'est queque chose de beaucoup plius profond et de plus mesquin. l'amour entre femme c'est plus délicat et plus rusé, il faut trouver des ruse pour amener sa partenaire à la limite de ses forces, la porté jusqu'a la frontière du rêve, mais ça ce n'est facil que dans la téhoris. dans la pratique j'avoue que je me sentais un peu prude.

"l'amour, lui susurais je, c'est ce qui fait que deux femmes peuvent se toucher sans rougir, si ce n'est de plaisir."

mes mains remonterent sur sa peau nue jusque sur sa poitrine. mes lévres effleurent les sienes et décendirent lentement; la couvrant de baisers, et je savais qu'elle le ressentais plus fort, c'était une vampire.

[Sandy]

Elle écouta sa réponse, il y en avait tant à donner, elle avait choisie celle-là. Ainsi elle avait définit l'amour comme une sensation qui se partage sans tabou ni honte, sans crainte. Juste de la confiance et du plaisir partagé. Mais elle n'avait pas l'intention de lui demander la signification de plaisir.
Au moins l'aidait'elle à faire une chose qu'elle n'avait jamais tenté, ou meme penser à faire. Se découvrir soi-même, exploiter ses atouts de vampire, et ne plus se dire qu'on était un mort dans une enveloppe sans valeur. C'est sans doute le fait que maelle la considère comme un être vivant, pas un humain non, une vampire avec des idées et des émotions, un être à part entière. Combien d'individus de son espèce avait put trouver et éprouver ce qu'elle avait en cet instant? Peut-être était-elle la première. Ainsi oui on pouvait être dit mort, mais se sentir vivant. Et puisqu'elle en était là, autant...'tester'.
Elle dirigea donc ses pensées uniquement sur Maelle, chassant tout ce qui ne la concernait pas, se fermant au reste, ne la voyant plus qu'elle. Elle se concentra à ressentir chacun de ses baisers, ses capacités 'vampiriennes' lui permettant de tout ressentir d'une façon bien plus forte et poignante. Le jour ou elle ferait cela naturellement, elle pourrait être fière d'elle. Rester à présent à s'oublier. Reussir à s'oublier soi-même pour entrer dans la danse. Un point plus difficile, mais qui en valait certainement le coup. Mais elle y arriverait, pour Elle.
Elle sentit donc plus fort qu'elle ne l'aurait crut le parcours, le petit chemin que suivait Maelle, s'arretant au niveau de la poitrine, sans doute prête à descendre encore. Sandy se redressa, obligeant Maelle à faire de meme, à présent assise elle avait récupérer les lèvres de la louve, tandis que ses mains s'était délicatement posée sur sa taille, leurs jambes comme collées en des positions..étranges.

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