aux portes de la ville

[Riku]

J'étais à bout de force, cela faisait bientôt 3 jours que je cherchais un lieu où m'installer. Il y aurait fallu des proies faciles, car je n'étais pas en état d'entamer un grande chasse maintenant. Plus j'approchais, et plus je distinguais l'aura des habitants de la ville et plus je sentais l'odeur de leur leur sang qui m'excitait.
*Si je ne bois pas du sang, et vite, je vais devenir folle !*

Je me préparais donc à tuer. Mes sens se réveillant, mes crocs s'allongeant et mes muscles se raidissant, je ne tardais pas à croiser le premier habitant aux portes sombres de la ville.
C'était un homme, et l'odeur de son sang était alléchante (quoique vu dans l'état d'excitation et de soif où j'étais n'importe quel sang m'aurait convenu). Il se mit à reculer et je compris que mon regard meurtrier devait l'avoir effrayé.

-Mais n'aies pas peur, mortel, aprés tout c'est un honneur de mourir de mes crocs...

Puis soudain je bondis, et il n'eu même pas le temps de réagir qu'il était mort. Je me rassasiait donc et buvais son sang à volonté, quand j'eu une idée :
*Mais oui ! Je n'ai qu'à prendre ses papiers et regarder son adresse, et je m'installerai chez lui jusqu'à que je trouve autre part où vivre !

Eeh oui quand on a plus soif on a tout de suite les idées plus claires !!

[kyara]

Le jour des mes 18 ans je suis parti de chez moi avec la ferme intention de retrouver ma soeur. Pour seuls bagages j'avais mon revolver, mes habits de danse, ma guitare et du fric. J'ai voyagé pendant 5 jours avant d'arriver aux portes de Paris.
Affamée, je santi une odeure de sang, en suivant cette odeure, je me retrouvai devant une immense villa. L'odeure venait du premier étage, par chance une des nombreuses fenêtre était ouverte...
Là, écroulé par terre, un cadavre baignait dans son sang... je me jetai sur lui.

[Edouard]

J'arrivais aux portes de la ville, j'étais épuisé. Mon pouvoir de régénération soignait peut être ma peau plus rapidemant que le soleil ne la brulait, mais cela user mon energie.

*Je ne peux pas continuer comme ça il me faut du sang.*

Pensai je en m'adossant à l'ombre d'une maison. Je fillais donc dans les ruelles les plus ombragées en esperant y trouver ma future victime.

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